Le grand départ

Pile à l'heure... ou presque

Écrit par Marc le .

Ça y est ! On est parti !
Bon, on devait partir lundi 18 mars, et, comment dire… il restait deux trois bricoles à régler. Pas de problème, les locatrices arrivent chez nous mardi et il reste plein de cartons à faire et tout nettoyer, mettre tout le matériel dans les sacoches, etc.

Lundi soir, on se dit qu’on partira demain matin.
Mardi matin, on se dit qu’on partira juste après midi.
Mardi midi, on se dit que ce serait bien de partir vers 15h.
À 15h, on se dit qu’on ne peut pas partir mercredi parce que les locatrices sont en train d’emménager. À 16h, ouf, les affaires sont dans les sacoches, les enfants sont ultra chauds, les parents sont stressés mais on y va.

Direction… L’ITALIE !

Première étape

Partir à 16h, c’est tendu, mais nous avions besoin de partir. C’est l’heure de pointe sur la départementale, ça pue, c’est stressant et on ne va pas pouvoir aller bien loin. Du coup nous avons bivouaqué au plan d’eau d’Anse où nous avons l’habitude d’aller nous baigner.
Ce petit trajet nous a permis de nous rendre compte que l’appli locus map proposait des itinéraires tout pourris… dommage, obligés de faire demi-tour.

Le plaisir de monter la tente et de manger à la lumière de notre lanterne. Je n’avais même pas eu le temps de tester l’allumage du réchaud à essence, mais ça marche nickel.

Au réveil, les enfants sont au taquet et tentent la baignade (glagla).

Deuxième étape

Nous sommes accueillis par un couple de ccistes. CCI c’est l’asso Cyclo Camping International qui propose entre autres un réseau de cyclistes qui hébergent les cyclistes, un peu comme warmshowers. Quel plaisir d’être accueillis et de pouvoir discuter voyage à vélo. La tente plantée dans le jardin, accès à la douche et repas chaud et convivial partagé, merci !

Tout doucement

C’est long d’entrer dans le voyage et nous sommes bien en phase de transition. Tout prend du temps, nous sommes perdus dans les sacoches et passons notre temps à les réorganiser…

Nous avons pris le train pour faire Lyon-Vienne et nous éviter l’étape désagréable du couloir de la chimie.

La suite au prochain épisode !